Un Concours de nouvelles pour faire vivre l’écriture en entreprise
Et si l’écriture devenait un levier de transformation intellectuelle en entreprise ? Le lancement d’un concours de nouvelles, en partenariat avec Albin Michel, a incité les collaborateurs à prendre la plume pour explorer la richesse de lanarration et la complexité du réel.
Ouvert à tous les salariés, ce concours littéraire à thème a permis de stimuler la pensée créative, l’agilité intellectuelle et la capacité à structurer des idées, compétences essentielles dans un monde en perpétuelle mutation. Un double jury, composé deprofessionnels du livre (Albin Michel) et de lecteurs volontaires issus de l’entreprise, a sélectionné les nouvelles finalistes, témoignant de la diversité et dela force des imaginaires en présence.
L’initiative s’est conclue par la publication des textes finalistes et une cérémonie deremise des prix en présence de David Foenkinos, offrant ainsi une reconnaissance littéraire aux talents émergents et soulignant l’importance de la créativité dans l’univers professionnel.
Un lieu où les histoires prennent vie, où les professionnels explorent l’art de raconter, que ce soit pour un projet personnel ou professionnel, telle est l’ambition de l’Écolede la Narration et des premiers parcours lancés fin 2024.
Chaque parcours s’ouvre sur un atelier d’écriture guidé par un « maestro », auteur chevronné passionné par la transmission. Son rôle ? Accompagner chaque participant dans l’amélioration de son texte, non pour lui imposer une voix, mais pour l’aider à trouver la sienne.
Vient ensuite le temps de « faire ses gammes » : exercices, jeux d’écriture et immersion dans les multiples facettes de la narration,sous l’œil attentif de professionnels de la littérature, du cinéma, de la communication d’entreprise, du journalisme et du documentaire.
Enfin, on lève les stylos pour écouter et échanger lors d’une masterclass avec un intervenant, reconnu pour son expertise sur une thématique spécifique : transmettre et raconter la science, inventer avec l’IA, s’inspirer du réel pour créer de la fiction, etc.
Chaque séquence du programme a une tonalité différente, liée à celles et ceux qui lesaniment. L’École de la Narration est un espace d’expérimentation où l’on apprend à structurer, affiner et donner corps à une histoire, qu’elle soitlittéraire, cinématographique, documentaire ou corporate.
Et si la fiction devenait un moyen d’élargir le champ du possible dans l’écritureprofessionnelle? Le programme « Easy reading is damn hard writing » a été conçu pour renforcer la maîtrise de l’écriture des cadres internationaux, tout en les encourageant à repousser les limites de leur créativité grâce à la fiction.
Ce programme de formation en langue anglaise de 3 jours (26 heures de formation) a réuni 40 participants issus de différentes entités et géographies, confrontés à l’exercice del’écriture sous des angles divers. Dispensé à Paris en présence et accessible à distancepour des participants en Asie et aux États-Unis grâce à un système de connexions à distance en fonction du décalage horaire, le programme a permis de vivre une expérience commune, tout enintégrant des déclinaisons locales pour chaque groupe.
Combinant master classes, ateliers d’écriture, projections et moments conviviaux, ce programme a été l’occasion d’explorer les subtilités du copywriting en compagnie de nombreux intervenants de renom : producteurs de séries, scénaristes, cinéastes, éditeurs et experts du monde de la fiction.
Cette initiative a mis l’accent sur l’importance de la narration dans le mondeprofessionnel et sur la capacité de la fiction à enrichir la pensée créative et stratégique.
Comme certaines entreprises, la ville de Venise a traversé deux graves crises successives et doit réinventer son modèle de développement si elle veut contrer son déclin et retrouver une place centrale dans l’Europe des arts et de la culture. Par analogie, la creative learning expedition propose un exercice et un voyage pour repenser l’avenir de la ville de Venise, son développement local et touristique, ses moteurs de renaissance et de croissance autour de la création artistique, après la crise de l’Acqua Alta et de la pandémie Covid19.
Les crises récemment traversées par la Ville représentent une occasion unique pour repenser l’avenir de Venise et travailler à un centre vivant d’étude et de création ainsi qu’à un tourisme culturel de qualité, à travers le dialogue art-sciences ;
Quelques semaines après les élections régionales et municipales, quelques mois après le changement des équipes de gouvernance des principales institutions culturelles et éducatives de la Ville (Université, Biennale, Fondation Pinault, etc.), le programme prévoit une série d’entretiens et de moments d’observations pour comprendre le contexte et les contours d’un potentiel projet de renaissance autour de la création contemporaine. La réflexion et les propositions des artistes qui se sont penchés sur cette question fait partie intégrante de la phase d’observation ;
Il est proposé au/s décideur/s de formuler un projet stratégique et d’imaginer des retombées opérationnelles de ses/leurs propositions ;
D’idées et d’actions avec des personnalités extérieurs à son champ professionnel : le programme propose une interaction avec de potentiels protagonistes d’une « renaissance vénitienne », venant de champs professionnels très diversifiés : transports ; musées, collections privées et patrimoine ; citoyens ; touristes ; opérateurs touristiques ; propriétaires et gestionnaires d’infrastructures ; artistes ; universitaires, etc. Les conclusions de l’expérience pourront être présentées et testées auprès des décideurs locaux ;
Le transfert des réflexions et des méthodes à la problématique de l’entreprise est réalisé par des ateliers de travail animés par Viarte à l’issue de chaque journée. Les deux attitudes cognitives de la méthode Viarte, que sont la réflexion par analogie et le souhait de changer le status quo, irriguent la totalité du programme, qui se déroule avec au moins trois jours sur place.
Séjour de 4 jours
Au sein de l’« œuvre totale » d’un grand artiste plasticien ou d’un grand collectionneur dans le Sud de la France (Var, Gard, Bouches-du-Rhône ou Alpes-Maritimes, en fonction de l’artiste et de la fondation retenus) : Fondation Bernar Venet (Le Muy), Fondation Vasarely (Aix-en-Provence), Domaine et œuvre d’Anselm Kiefer à Barjac (Gard), Fondation Maeght (Saint-Paul-de-Vence ; Avignon, son Festival et son cluster de start-ups culturelles) ; MO.CO de Montpellier (Hôtel des collections, Panacée et Ecole supérieure des Beaux-Arts), laboratoire et centre d’art de nouvelle génération regroupant toute la filière artistique depuis son apprentissage jusqu’à l’exposition ;
Projet musical de 3 jours en région parisienne
Notamment par l’interaction entre disciplines, méthodes et univers différents, accompagné par la pianiste, chanteuse et actrice Lydie Solomon (Premier Prix du CNSMDP et diplômée de l’ESSEC).
Séjour de 5 jours en Dordogne et Charente-Maritime
Innover et imprimer une marque dans le monde tout en retrouvant et en préservant les gestes, les outils, les matières d’origine.
Visite d’une des grottes préhistoriques ornées de peintures rupestres du Centre international de l’Art pariétal, Montignac-Lascaux (Dordogne), en compagnie d’un photographe d’art ; séjour dans les dépendances d’un château périgourdin qui redécouvre les techniques de récolte de la truffe et de l’artisanat traditionnel ; découverte de l’art africain et du dialogue entre les matériaux éphémères et ceux qui durent à l’occasion de la visite du Musée du Nouveau Monde de la Rochelle et de la statue Toussaint Louverture d’Ousmane Sow.